Nom scientifique | Lavandula latifolia spica |
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Parties distillées | Sommités fleuries |
Principaux lieux de culture | Sud de la France, Espagne |
Dangerosité | ![]() |
En friction : on peut la laisser pénétrer pure sur une piqûre, une brûlure, ou même une plaie. Frictionner quelques gouttes sur le dos ou le thorax d’un enfant pour bénéficier du l’effet expectorant.
En massage : diluée à un taux 5 % maximum dans une HV, pour son effet à la fois antalgique, décontractant et tonifiant.
En diffusion : seule, ou mélangée à des essences d'hespérides, ou à d’autres huiles essentielles anti-infectieuses.
En inhalation : pour décongestionner. 6 gouttes 3 fois par jour dans un bol d’eau bouillante ou un inhalateur.
Dans l’eau du bain : 10 gouttes dans un verre de lait avant de verser dans le bain.
Avec des essences d'hespérides, ou à d’autres HE anti-infectieuses.
La lavande aspic contient un peu de camphre, qui est neurotoxique, mais l’HE issue du Sud de la France en contient un taux très bas. À vérifier avant de l’utiliser sur un enfant ou une femme enceinte.
Fortement déconseillé aux épileptiques.
Familles biochimiques | Molécules | Proportions |
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Monoterpénols | Linalol | 25 à 40 % |
Éther-oxydes | 1,8 cinéole | 25 à 40 % |
Cétones | Bornéone (camphre)1) | 10 à 40 % |
Monoterpènes | α-pinène et β-pinène | 2 à 4 % |
Limonène | 2 à 5 % | |
c15-ene | 2 à 5 % |
Prêtez attention au lieu de culture : La lavande aspic contient un peu de camphre, qui est neurotoxique, mais l’HE issue du Sud de la France en contient un taux très bas. À vérifier avant de l’utiliser sur un enfant ou une femme enceinte.